VERTICAL et ARTS NUMERIQUES (2018)

Lyon, 2018, pièce immersive pour 1 danseuse et 1 dispositif immersif lumière.

La dimension immersive permet d’accroitre la sensation de perte du sol et embarque le spectateur dans des dimensions de suspension et univers nouveaux très puissants. C’est dans ce but de recherche de mouvement que la compagnie Les impondérables et la société Théoriz se sont rapprochés en 2018.

Danse verticale et Immersion dans l’image numérique

le mot de la chorégraphe sur le processus de travail

Ce travail exploratoire a permis d’explorer pas mal de possibles entre mouvement et projections murales dynamiques. Sans mener à une création, ces temps de travail nous a enrichis des deux côtés : les artisans de l’image et les artisans du mouvements. La dimension image et lumière est très impactante, presque envahissante. En tant que danseur, on perd complètement la dimension globale de ce qui est proposé à voir. Un regard extérieur chorégraphique est nécessaire pour ce type de travail.
Cette rencontre a motivé ma volonté à continuer à frotter le numérique et l’immersion.

Rachel

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